Chiens de refuge de marche


Chiens de refuge de marche

Lorsque je me suis porté volontaire pour marcher sur les chiens de sauvetage, j’ai rencontré le fondateur du sauvetage un dimanche matin. Ensemble, nous avons pris l’un des mélanges de stands lors d’une promenade de 15 minutes, puis elle m’a tendu la laisse et c’était tout. C’était en septembre 2007.

C’était un travail très significatif pour moi. Je pouvais me présenter quand je le voulais. Il n’y avait pas d’horaire. Aucun formulaire de responsabilité. Le sauvetage n’avait aucune assurance. Aucune demande de bénévolat. Je me sentais essentiel et nécessaire, et j’ai fait une énorme différence pour ces chiens.

J’ai toujours travaillé dans un journal à l’époque. Pendant ces promenades, les pensées de démarrer une entreprise de course canine se préparaient. J’ai finalement pris les chiens de sauvetage en courant parce que cela avait du sens. Ils devaient courir. Après mes 500 premiers miles avec des chiens de sauvetage, j’ai arrêté de suivre. Les kilomètres n’impliquaient plus rien. Mon temps avec eux l’a fait.

Six ans plus tard, dans une zone différente et plus peuplée du pays, les abris sont très bureaucratiques. Cela devient le cas partout, pas seulement ici. C’est une bonne chose, de nombreuses manières. Vous ne pouvez pas avoir n’importe qui marcher dans une canine maintenant, n’est-ce pas? (Ou pouvez-vous?)

J’ai attendu deux mois pour une formation de bénévolat à venir. Je suis probablement trop ravi pour ça. Je devrais d’abord terminer une séance de formation générale d’une heure suivie d’une session de formation de deux heures en particulier pour traiter avec les chiens. Ensuite, on me dit que je serai étroitement supervisé pour plusieurs quarts de bénévolat. Après cela, je pourrais courir avec les chiens si je le souhaite. Cela semble être beaucoup plus sur moi que d’aider les chiens dans le besoin. Si je termine la formation, je pourrais «faire» courir avec les chiens.

Je n’écris pas ceci pour critiquer aucun de ces groupes. La formation des bénévoles et l’organisation sont de bonnes choses, évidemment. Mais il en va de même pour la simplicité et la confiance.

La plupart des gens ne prendront probablement pas des heures de formation uniquement pour interagir avec des chiens de refuge. Il est en fait plus simple d’adopter une canine (woah! Je sais!) Qu’il ne l’est pour que un concert bénévole marche sur un chien.

Je suppose que lorsque vous êtes inondé de bénévoles qui pensent vouloir aider les animaux, vous pouvez vous permettre de les désherber et de vous impliquer difficile. Vous pouvez comprendre qui est réellement engagé. Si c’est le but, je comprends. Le refuge est le prix, pas le volontaire.

Donc, j’ai sauté en ligne.

J’ai hâte de casser une canine de sa cage. Ce sera pour moi autant que ce sera pour elle.

Ses muscles fonctionnent. Ses pattes dans le sable.

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